A voir : le film Un monstre à 1000 têtes
Film mexicain de De Rodrigo Plá, avec Jana Raluy, Sebastian Aguirre Boëda, Hugo Albores.
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Dans une tentative désespérée d’obtenir le traitement qui pourrait sauver la vie de son mari, Sonia Bonet part en lutte contre sa compagnie d’assurance aussi négligente que corrompue. Elle et son fils se retrouvent alors pris dans une vertigineuse spirale de violence. Un animal blessé ne pleure pas, il mord.
Le réalisateur Rodrigo Plá est né en 1968 en Uruguay. Il a grandi au Mexique avant d’étudier le cinéma au Centro de Capacitacion Cinematografica de Mexico. Il est réalisateur, producteur et scénariste. Parmi ses courts-métrages les plus remarqués figurent NOVIA MIA realisé en 1995, EL OJO EN LA NUCA qui lui a valu le Student Academy Award du meilleur court-métrage étranger aux Etats-Unis en 2001, et 30-30 qui est un segment du filmchorale
REVOLUCION sorti en 2010.
Rodrigo Plá a signé son premier long métrage en 2007 avec LA ZONA. Celui-ci a remporté de nombreux prix aux quatre coins du monde, notamment le Lion du futur – prix Luigi de Laurentis de la meilleure première œuvre au festival de Venise en 2007 et le prix FIPRESCI à Toronto la même année. LA ZONA a été aussi un grand succès public en France où il a attiré plus de 130 000 spectateurs à sa sortie.
Son deuxième film, DESIERTO ADENTRO, a été projeté en clôture de la Semaine de la Critique à Cannes en 2008. Il a ensuite obtenu le prix Mayahuel au festival de Guadalajara et pas moinsde huit Ariel, l’équivalent mexicain des Oscars et César. LA DEMORA, son troisième film, a eu les honneurs du festival de Berlin en 2012 où il a gagné le prix du jury œcuménique.
UN MONSTRE À MILLE TÊTES est son quatrième film. Il a été présenté au festival de Venise 2015 en ouverture de la section Orizzonti, avant de remporter le prix du jury au festival de Biarritz.
« Un parti pris esthétique très fort, presque conceptuel, un sujet universel, une rage qui fait mouche, une touche d’humour noir font la différence. »
par Jacques Mandelbaum dans Le Monde.« Ou comment un drame médical mexicain se transforme en un grand film entre critique sociale et polar. La belle surprise de la semaine, ni plus ni moins. »
par Eric Libiot dans l’Express