à regretter …
Le 25 décembre dernier, Vic Chesnutt est mort après plusieurs jours de coma dus à une surdose de décontractants musculaires, suite à une nouvelle tentative de suicide.
« auteur depuis le début des années 90 d’une quinzaine d’albums dont la rare grâce et l’abyssale tristesse ont marqué à jamais les âmes sensibles » les Inrocks, cliquez ici pour avoir la suite
« le musicien américain était une figure importante de ma musique indépendante. Ce n’est qu’à la fin des années 80, après que le chanteur de REM Michael Stipe le découvre et produise ses deux premiers disques, que la carrière de Chesnutt décolle. » Slate, cliquez ici pour lire l’article dans son entier
« Sans jamais accéder à un large public, Vic Chesnutt, sa poésie cruelle, son humour noir et sa voix écorchée ont fini par séduire un important noyau de fans parmi lesquels beaucoup de critiques rock et d’artistes. En 1996, ces derniers lui rendront hommage dans une compilation, Sweet Relief II : Gravity of the Situation, enregistrée au profit des musiciens malades sans couverture sociale. Vic Chesnutt avouait d’ailleurs crouler lui-même sous les dettes en raison de frais médicaux entraînés par les nombreuses opérations qu’il avait subies. Cet album de reprises de ses morceaux comptait, entre autres, comme interprètes, REM, les Smashing Pumpkins, Garbage, Sparklehorse, Mary Margaret O’Hara et même Madonna. » Le Monde, cliquez ici pour lire l’article en entier
Vidéo du concert à La Cigale que j’ai eu la chance de voir et d’écouter
Take Away Show #74.1: Vic Chesnutt from vincent moon / temporary areas on Vimeo.